Infos toute fraiche : cuissards déchirés, plaies apparentes… Journée douloureuse pour les rescapés des chutes de la 14e étape

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Le titre (cuissards déchirés, plaies apparentes… Journée douloureuse pour les rescapés des chutes de la 14e étape) en dit long.

Sachez que l’éditorialiste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

Les infos communiquées sont en conséquence jugées véridiques.

La date d’édition est 2023-07-15 15:04:00.

Sept coureurs ont été contraints à l’abandon, samedi, après des chutes graves sur le Tour de France, entre Annemasse et Morzine.

Les cuissards et maillots déchirés, des plaies apparentes et des pansements rougis après une journée d’effort… A l’arrivée de la quatorzième étape du Tour de France à Morzine, samedi 15 juillet, certains coureurs étaient pressés de descendre de vélo pour se réfugier dans le bus et se faire soigner, heureux d’avoir franchi la ligne, pendant que sept ont été contraints à l’abandon après plusieurs chutes importantes dans la journée. 

Alors que le Tour de France avait été jusque-là épargné par les chutes massives, les coureurs se sont fait surprendre par une route humide, après un court orage, à six kilomètres du départ. « C’était une patinoire, comme un verglas d’été, décrit Adrien Petit (Intermarché-Circus-Wanty). J’ai vu que ça tombait devant, donc j’ai essayé d’aller sur la droite et je suis tombé dans un fossé avec de la roche ». Le coureur arrageois, dont le cuissard a été déchiré sur la fesse droite, a immédiatement été pris en charge par le service médical, qui lui a bandé le tibia.

« J’ai senti directement qu’il n’y avait rien de cassé. On va regarder s’il n’y a pas de points à faire sur la cheville, le tibia était déjà bien gonflé mais pas cassé d’après les médecins de la course. Ils voulaient que j’arrête, mais je voulais continuer pour voir l’évolution des douleurs », poursuit celui qui a terminé l’étape à 38 minutes du vainqueur, Carlos Rodriguez (Ineos-Grenadiers). 

« J’ai eu besoin d’un coéquipier pour me déchausser »

Tombé également lors de cette première chute de la journée, Bryan Coquard (Cofidis), boitait bien bas en descendant de vélo. Soigné, il est redescendu du bus pour signer quelques autographes avec de la glace sur la cheville gauche. « Ça a déjà un peu gonflé donc on essaye de faire en sorte que ça ne gonfle pas plus. J’ai une contusion osseuse, peut-être une entorse, on ne sait pas encore. J’ai un peu mal à la cheville quand je pédale, mais tant qu’elle reste dans l’axe, ça va, donc normalement sur le vélo c’est bon. Par contre j’ai eu besoin d’un coéquipier pour me déchausser la chaussure de la pédale », témoigne le sprinteur. 

Touchés, les coureurs impliqués dans la chute ont pu se faire soigner sans perdre de temps, grâce à la neutralisation de la course. « Il y a eu un peu un état de choc dans le peloton quand on s’est retrouvés arrêtés. Il faisait chaud, on avait fait les premiers efforts, donc le cœur était très haut à cause de l’effort et de la peur de cette chute », décrit Guillaume Martin (Cofidis), qui raconte avoir « pilé au dernier moment » pour éviter de goûter au goudron.


Après 29 minutes d’interruption, la course a pu reprendre sur un rythme effréné. « On savait ce qui nous attendait après cette chute, avec plus de 4000 mètres de dénivelé, donc forcément ça n’a pas été super simple, mais heureusement qu’il y avait le public pour nous encourager. Les spectateurs se sont rendu compte que j’étais dans la souffrance. Déjà que je ne suis pas trop aérien d’habitude, alors aujourd’hui encore moins », sourit Adrien Petit. 

Commotion cérébrale pour Romain Bardet

Le coureur de l’équipe Intermarché-Circus-Wanty a malheureusement perdu son leader, Louis Meintjes, contraint à l’abandon après cette chute, tout comme Antonio Pedrero (Movistar) et Esteban Chaves (EF Education-EasyPost). Plus loin dans l’étape, Ramon Sinkeldam (Alpecin-Deceuninck) et Ruben Guerreiro (Movistar) ont aussi abandonné, tout comme Romain Bardet (DSM-Firmenich) et James Shaw (EF Education-Easypost) qui ont chuté dans un virage en descente. Une commotion cérébrale a été diagnostiquée au Français.


« Romain adore le Tour, il voulait continuer, mais ce n’était juste pas possible. S’il avait chuté une nouvelle fois plus loin à cause de la commotion, ça aurait pu être encore plus grave. Ce soir, il se sent comme quelqu’un qui a chuté à près de 80 km/h, et il est forcément déçu et triste », a affirmé son directeur sportif, Matt Winston. Pour les valeureux blessés qui ont réussi à rejoindre Morzine, la nuit sera porteuse d’enseignements et des abandons pourraient s’ajouter à la liste au départ des Gets, dimanche matin.

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