A lire : L’Inde vient de se poser sur la Lune et entre dans l’histoire

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J’ai trouvé un papier sur internet dont la thématique est «l’automobile».

Son titre (L’Inde vient de se poser sur la Lune et entre dans l’histoire) est sans confusion.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le rédacteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

L’article d’origine :

L’Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) vient d’alunir avec succès pour la première fois de son histoire devant plus de huit millions de spectateurs sur Youtube. Le pays devient non seulement le quatrième pays à réussir à se poser en douceur sur la Lune, mais aussi le premier à atterrir au pôle sud.

L’Inde sur la Lune

La seconde aura été la bonne pour l’Inde. Après son échec essuyé en 2019 avec sa mission Chandrayaan-2, l’Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) vient de faire ce que peu d’agences spatiales ont réussi avant elle : se poser en douceur sur la surface lunaire, pourtant connue pour être un terrain particulièrement difficile. En avril dernier, l’entreprise japonaise Ispace avait échoué, tout comme l’atterrisseur israélien Beresheet trois ans plus tôt, et plus récemment la Russie.

La mission Chandrayaan-3 devient donc la première à atteindre le pôle sud lunaire, une région de plus en plus convoitée par les différentes agences spatiales, dont la NASA et la Chine. Plusieurs études ont en effet révélé la présence de glace d’eau sur place en grande quantité. Or, cette matière première sera une ressource cruciale pour l’exploration spatiale à long terme.

Chandrayaan-3 Inde Lune
L’atterrisseur Chandrayaan-3 avant son lancement. Crédits : ISRO/NASA

Quels seront les objectifs de la mission ?

Naturellement, l’Inde ne se contentera pas d’atterrir. Les objectifs de la mission seront de faire progresser la maîtrise des technologies d’atterrissage en douceur à la surface de la Lune.

Il est également prévu de déployer un petit rover dans le but de réaliser des études in situ et d’analyser les éléments chimiques présents en surface. Les données recueillies permettront d’améliorer notre connaissance de la topographie locale, de déterminer de manière détaillée les minéraux présents, ainsi que la quantité des différents éléments chimiques.

Ce n’est pas tout. L’atterrisseur est également équipé d’un sismomètre dont l’objectif sera d’enregistrer les secousses sismiques de la Lune dans le but d’étudier le noyau de la Lune. Un instrument de mesure des propriétés thermiques du sol se chargera de son côté de mesurer la température et la conductivité thermique à environ dix centimètres sous la surface.

Enfin, une sonde aura pour objectif de mesurer la densité du plasma présent dans la couche de l’exosphère proche de la surface et ses variations dans le temps.

La durée de la mission ne sera que de quatorze jours terrestres (soit une journée lunaire). Ni l’atterrisseur ni le rover ne sont en effet conçus pour supporter les basses températures de la nuit lunaire dans la mesure où ils dépendent de l’énergie solaire pour fonctionner.

Publications sur un objet concordant:

À travers l’Inde en automobile/45,(la couverture) .

La France en automobile,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Mécanique automobile/Vidange huile moteur,Le livre .

rta ford fiesta,Le livre .